La petite robe rouge à pois blancs

Auteur : Yolande Dubuc Jean
Date de publication : 20210907
Nombre de pages : 176
ISBN : 9782896277117
Prix : 19.95

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Description

Yolande Dubuc est née en 1945 dans la ville de Windsor, en Ontario. Ses parents originaires de Saint-Alphonse de Nicolet et de Sainte-Perpétue de L’Islet habitent à St. Catharines, en Ontario.

Très tôt, les déménagements font partie intégrante de la vie de Yolande Dubuc Jean. Ses études terminées, elle devient institutrice dans sa paroisse, poste qu’elle occupe pour une durée de deux ans. Jeune fille cérébrale et émotive, elle s’engage avec fougue dans sa vie de femme. Ses chemins ne sont jamais demi-mesure : de tortueux et tordus, ils deviennent bonheur et contentement.

Devenue épouse et maman, elle retourne à l’enseignement et devient multidisciplinaire. Le travail ne manque pas : caissière et commis d’épicerie, hôtesse et représentante commerciale dans tout le Québec, infirmière par obligation, propriétaire d’une boutique de vêtements unisexes, hôtesse dans des salons commerciaux, conseillère dans une bijouterie, conseillère en planification funéraire, propriétaire d’un commerce pour les ongles : le Doigté, célébrante de cérémonie dans une coopérative funéraire. Après quelques voyages imprévus, pour ne pas s’ennuyer dans sa retraite, elle devient auteure.

En résumé, Yolande est une femme fière et aimante, courageuse et croyante, excentrique et authentique, exigeante et tolérante, sévère et humoristique, respectueuse et rieuse.

La petite robe rouge à pois blancs nous explique le pourquoi et le comment des choses. Elle permet d’accorder un peu de lumière sur les mystères et les non-dits de son enfance. Elle aide à panser les blessures, à les pleurer et j’espère à les guérir.

Aimer la vie et ses remuements, aimer les personnes qui nous entourent est une première leçon de vie. Elle justifie l’intelligence de la dédramatisation des événements.

La vie est le plus grand cadeau que l’on reçoit en naissant, mais le bonheur n’est pas gratuit : il s’apprend. Antithèse de la peine, les deux n’ont pas de mesure.

Ce livre est le début d’un beau voyage sur une mer toute jeune : vingt ans. Sa poursuite est en processus d’écriture et annonce un océan passablement houleux.