Rentrés du large

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Rentrés du large

Rentrés du large

Carolle Arsenault
Historique

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Carolle Arsenault est native de Richibucto (Nouveau-Brunswick), un petit village sur la côte est de la province. Elle est passionnée de lecture depuis toujours et obsédée par l’idée d’écrire, mais ce n’est qu’en 2012, après plus de 20 ans à enseigner dans les écoles secondaires de la province, qu’elle trouvera finalement le courage d’amorcer la rédaction d’un premier manuscrit, qui sera publié en 2018. Celui-ci lui méritera le prix France- Acadie en 2019.

Elle soutient sans faute que sa plus grande source de fierté demeure sa famille, son mari et leurs trois fils.

Mélina Richard apprête du homard à l’usine de Cap-Lumière, au Nouveau-Brunswick. Les femmes y composent majoritairement la main-d’oeuvre, alors que les hommes naviguent au large pour pêcher. Cette Acadienne ne peut s’empêcher de lorgner Albert, un grand homardier qui n’a pas encore trouvé le courage de faire les premiers pas. Mais même si l’eau salée coule dans les veines de Mélina, que lui cache le monde, à l’extérieur des frontières de Cap-Lumière ?

De son côté, sa soeur ainée est complètement ébranlée depuis la disparition de son mari lors du plus gros désastre marin du pays, au large d’Escuminac : malgré leurs efforts, beaucoup de pêcheurs n’ont pas réussi à gouverner leur embarcation entre les montagnes d’eau bouillonnante pour retourner au port. Dès lors, Irène sermonne sa petite soeur : « Pas un pêcheur, Mélina ! C’est un métier beaucoup trop dangereux. » Mais, comme le disait Voltaire, n’est-il pas plus prudent de s’associer « au diable que l’on connait qu’à un ange que l’on ne connait pas » ?