Se réinventer malgré les préjugés d’être née prématurément (ePUB)

FORMAT NUMÉRIQUE
Se réinventer malgré les préjugés d’être née prématurément (ePUB)

Se réinventer malgré les préjugés d’être née prémat...

Colette Johnson
Biographie

INFORMATIONS

  • Le coût de la livraison
    sera calculé lors
    de votre achat.
  • Paiement sécurisé
  • En stock

Les Éditions de la Francophonie sont exclusivement distribuées par ANBoutique. Pour finaliser votre commande en toute sécurité, vous serez redirigé vers le site sécurisé de notre distributeur.

FORMATS DISPONIBLES

Format papier

Livre imprimé sur papier.

Format numérique

Livre électronique lisible sur liseuse, smartphone, tablette ou ordinateur.

Les deux formats offrent un contenu identique.

Colette est née à Saint-Basile, au Nouveau-Brunswick. Elle est la quatrième de neuf enfants. Après son éducation primaire, au couvent des soeurs, et quelques années à l’école secondaire, elle quitta le Nouveau-Brunswick dans des circonstances difficiles pour le Québec, et ce, à l’âge de vingt ans. Elle occupa ensuite divers emplois. Quatre ans plus tard, elle y rencontra son futur époux, puis, dans « la Belle Province », celle-ci devint la maman de sa fille Jenn. Son fils Lou,
quant à lui, vit le jour outre-mer, deux ans plus tard. Deux autres années s’écoulèrent, puis cette dernière revint au bercail. Le malheur se préparait ; elle dut subir une opération majeure au Québec six ans plus tard, suivie d’un accident de travail dès l’arrivée du nouveau millénaire. Son univers s’écroula. Colette cessa de fredonner. Ce moment la replongea dans les souvenirs de son enfance, une descente qui semblait se répéter… Heureusement, un brin d’espoir naquit dans son
coeur lors du Salon du livre d’Edmundston, treize ans plus tard.

« J’étais fatiguée et heureuse de revenir enfin à la maison
avec mes deux petits.
Ma voisine était absente, et elle avait ma clé. J’ai donc placé mes amours
dans l’auto pour une courte randonnée, trouvant ainsi ma voisine sur
notre chemin. En stationnant ma voiture, j’entendis : “ FEU ! Sortez ! ”
Je me retournai pour voir les flammes sortir du capot… »